Aaron Fendircia

Aaron Fendircia



Image du personnage:

Description physique:

Dans la lumière de la nuit se dresse un loup. Non, un chien. Imposant, son poil est long et son pelage, noir, presque brun. De grand crocs dépassent de sa gueule et d’énormes griffes jaillissent de ses pattes. C’est un berger belge. Mais ce chien est différent, car ses yeux sont bleus comme la mer, et balayent l’horizon d’un regard presque humain.

Soudain, l’animal se transforme petit à petit en un homme incroyablement grand, dont la taille avoisine le mètre 90. On peut voir de fins muscles tirer sa peau ni trop pâle, ni trop bronzée. De beaux cheveux noirs aux reflets bruns, dont les plus longues mèches atteignent la nuque, volent dans le vent. On ne le voit pas, mais une grande cicatrice barre son dos. Calme, marchant avec nonchalance, ses fines lèvres sont étirés en un sourire espiègle, et le même regard perçant de la bête qui l'avait précédé fixe maintenant le paysage de verdure plongé dans la pénombre.
D'un coup, il se change à nouveau, même si son apparence reste en partie la même. Malgré les ténèbres, on peut voir deux oreilles pointues et noires se dresser sur son crâne, des crocs et des griffes apparaître comme par magie, ainsi qu’une queue touffue dépasser de son pantalon. Sur ses bras à découvert, deux fines traces blanches lui barre la peau. Des cicatrices.
Quoi qu’il en soit, cet homme n’est pas humain, et pour cause, c’est un Canis.

Caractère:

Dans une contrée reculée du canada, se trouvait un riche marchand qui découvrit que des hommes mi humains, mi loups, pouvaient exister. C’est une petit groupe qu’il trouva, et il n’hésita pas à en faire des esclaves. Alors, le commerce d’hommes loups naquit. Des générations s’écoulèrent, et un homme riche réussit à s’approprier un de ces être si particuliers. C’et là que l’histoire d’Aaron commence.

Il n’avait pas de nom. Son maître l’appelait le Fendircia, comme on avait nommé sa race. Quand le garçon devint adolescent, il le forma au combat. Impitoyable, il lui apprit à tuer, à apprécier le combat et le jeune garçon fit de la mort sa compagne. Rapidement, il devint un puissant guerrier, étant très doués pour le combat. Petit à petit, l’homme le transforma en machine à tuer. Oui, assassiner lui plaisait, et chaque fois que son maître croisait le fer avec lui, il insinuait dans son crâne la plus infâme des pensée : celle qu’il était supérieur, tel un dieu parmi les insectes. Finalement, les vrais combats commencèrent quand son maître l’inscrivit dans une grande arène où les guerriers s’affrontaient en combat à mort. Les combat s’enchainaient, tous suivis de victoire. L’adolescent était si sur de lui à cet instant que sa volonté était inébranlable. Mais un jour, quand il eu 20 ans, ses convictions [/center]furent ébranlées lors des combat sans pitié face à un homme deux fois plus grand que lui. Après de longues heures d’efforts, il s’était retrouvé à terre, et l’homme avec la férocité d’un tigre, lui fit une profonde entaille dans le dos. Un hurlement de douleur retentit dans toute l’Arène, et le jeune homme resta immobile, feignant la mort. Quand il fut jeté dans la fausse aux cadavres, il fila en douce et partit rejoindre son maître, malgré la douleur lancinante qui lui déchirait le dos. Mais quand il le retrouva, ce dernier le regarda avec un œil si haineux qui en eu peur. Le blâmant pour son incompétence, il le battit. Haletant sous l’effet de la douleur, le Fendricia s’enfuit, mais les ténèbres l’engloutirent avant qu’il ai put trouver un quelconque abri.
Alors c’était ça, la mort ?
Il se réveilla dans une cellule glacial. A son grand étonnement, il avait un bandage autour de son torse. A côté de lui gisait un être roulé en boule, laissant échapper de nombreux gémissement. Intrigué, le jeune homme posa une main sur ce qui semblait être un gamin d’une quinzaines d’année. Quand il le retourna, son cœur se figea dans sa poitrine. Il avait des oreilles semblables aux siennes ! Mais sa peau était aussi pâle que celle d’un mort, ses cheveux blonds étaient poussiéreux et ses lèvres sèches. Ses yeux injecté de sang se plongèrent dans les siens.
-Un… un Canis … ici… je ne sui plus… seul…, dit-il d’une voix faible.
-Je… je ne comprend pas !Où-est-ce qu’on est?
Alors le garçon lui compta l’histoire des gardiens, et qu’ils étaient ici chez un marchands d’esclaves qui exposait ses prises en cellule. Ils restèrent des jours, sans que personne ne se manifeste. Petit à petit, le Canis s’attacha à cet adolescent qui semblait dépérir à cause d’une maladie. Finalement, un beau matin coupa court à la monotonie de la froide cellule. Le graçon fut pris d’une violent quinte de toux.

-Je me sent si faible… J’ai l’impression que je vais m’endormir…

-Non, lutte ! Tu ne peux pas m’abandonner maintenant !

-Je suis désolée, je n’ai plus la force de me battre !

-Attend ! Tu ne m’as même pas dit ton nom ! Tu ne voulait pas me le dire.

-Je… Appelle … Aaron…

Puis la tête que le Canis tenait dans ses mains devint lourde, et les paupière du garçon se fermèrent. Poussant un hurlement déchirant, le Canis appela à l’aide. Un garde accourut alors. Mais au lieu de l’aider, le frappa afin qu’il se taise. Alerté par tant de grabuge, le marchand lui-même descendit et demanda se qui se passait.

-Bah… il était faible de toute façon ! Mais toi, on demande à t’acheter. Aller, suis moi.

Mais Le Canis ne le suivit pas, il ne suivrait plus personne. Toute cette injustice, il ne la supportait plus. En poussant un hurlement , il prit l’épée du garde et tua les deux personne présentes. Puis il libéra tout les prisonniers. La nuit même, l’arène de combat fut brulée dans un incendie et personne n’en sut jamais l’auteur .
Le lendemain, le Canis partait à la recherche de cette cité mystérieuse que le garçn malade avait évoqué dans ses récit. Finalement, cette histoire ne le marqua plus, mais elle resta présente dans sa mémoire. Ne répétant pas ses erreurs passées, il resta orgueilleux, mais devint aussi indomptable qu’un animal sauvage. Un nouveaux Canis venait de naître. Son nom : Aaron Fendircia